Découverte de la ville
Pour ce deuxième jour, une longue ( !) balade à pieds est au programme. Il s’agit donc de prendre des forces avant le départ et le petit déjeuner de l’hôtel est parfait pour ça ! Tout est à volonté et il y en a pour tous les gouts.
Départ donc pour de longues heures de marche à la découverte de Saint Petersbourg. Ici, il suffit de lever les yeux pour tomber sur une belle statue ou un magnifique immeuble. En fait, des palais, il y en a absolument partout et de toutes les couleurs ! Des roses, des jaunes, des bleus… Un rayon de soleil dessus et ça doit être absolument splendide, mais pour le moment, il fait gris et il ne neige même pas !
Un hot dog qui arrache la gueule à 80 centimes, acheté dans un petit stand de rue et mangé dans le froid, histoire de se caler un peu et visite de la Cathédrale Notre Dame de Kazan. De l’extérieur, c’est une mini Basilique Saint Pierre mais l’intérieur est tout sombre et doré partout. Pas de photo pour vous en donner une idée, elles étaient interdites. Les russes ont en tout cas l’air d’être archi croyants et comme eux, nous avons déposé une bougie en mémoire de Mathieu.
Nous continuons la remontée de la Nevski Prospekt, la rue principale, et nous tombons sur un message encore présent sur un mur « En cas de bombardements, ce côté de la rue est le plus dangereux ». Sympa…
Histoire de se réchauffer un peu, nous nous mettons à la recherche d’un café et optons pour celui d’un grand hôtel. Enfin un endroit où ils parlent anglais Ici non plus ça n’a pas l’air d’être leur fort.
Après quelques dangereuses glissades sur les trottoirs Petersbourgeois et une magnifique vue sur le croisement de la grande et de la petite Neva, une nouvelle pause est décidée dans un pub. Déjà bien réchauffés par l’entrée dans le pub, Guillaume décide d’aller plus loin et de goûter quelques vodka russes. 5 différentes sont servies, il y en a pour tous les gouts. Forte, moins forte, parfumée et même rouge. Apparemment, elles ont fait de l’effet
Un petit détour vers la Neva, presque intégralement gelée et nous optons pour un diner sur un bateau. Un diner… terrible ! La grande classe, par un chef français. Nos papilles ont bien savourés.
Cette journée se finit donc encore les jambes bien fatiguées et bien contents de rentrer au chaud tout de même.