Pour ce dernier week end dans la capitale japonaise, nous partons direction le temple impérial. Palais qu’on ne verra pas de nos propres yeux d’ailleurs, car il est impossible de le voir en se baladant dans le parc. Ils ont fait en sorte que celui-ci soit caché un maximum…
Comme d’hab, un jardin magnifique ou l’on ressent vraiment le coté historique.
Pour la petite anecdote, la famille de l’empereur ne sort que très rarement : seulement deux jours dans l’année où ils vont saluer le peuple.
Après ce petit moment historique, direction le AJINOMOTO STADIUM pour la première journée de Japan League : le FC Tokyo reçoit le Vissel Kobe.
Un peu plus de 25 000 personnes pour ce match, ou déjà il n’y aucune fouille au corp, ou l’on peut rentrer dans le stade avec ses propres beamsh et sa bouffe… bref vraiment une autre mentalité.
Même à 10 000 km de chez nous ils sont au courant de la descente aux enfers du PSG !
Aussi bien techniquement que tactiquement, je dirais que le jeu japonais ressemble énormément à une partie de PES en grandeur nature ! Ca court dans tout les sens, pas forcement super précis et surtout le supporter japonais s’excite pour n’importe quoi. 😀
Enfin une bonne expérience avec un public bon enfant.
A noter que les ultras de Kobe sont vraiment plus proches du modèle italien comparer aux fans du FC Tokyo qui eux nous feront plus penser au public d’Olive et Tom ! 😀
Pour terminer cette journée (encore) bien remplie, nous avions décidé de se faire une raclette en plein cœur d’un quartier historique de Tokyo. Nous avions repéré un chalet suisse spécialisé dans ce genre de bouffe du coté de Nippori.
Malheureusement, après une bonne heure de galère, nous arriverons trop tard pour y manger (réservation pour le lendemain par contre). Du coup nous y irons manger dans un restaurant français avec notre collègue du soir, le bien nommé Yuhei.
Au menu : une bonne bouteille de Mouton Cadet, des escargots de Bourgogne, un bon steak au poivre… et tout cela pour une misère comparé aux prix habituellement en France.
Yuhei nous proposera de finir la soirée chez lui (où il n’avait emmené personne depuis qu’il habite le quartier) pour boire le thé traditionnel japonais.
Un mec vraiment super gentil, super calme qui aura même voyagé du coté de Derry !
Bref une grosse soirée qui nous laissera encore moult souvenirs !
Arigato gozaimasu Yuhei
Comme dirait notre chère amie Chantale : “Pandi Panda, petit ourson de Chine”. Et bien non je dis faux ! Nous ne pouvions pas nous rendre à Tokyo sans passer dire bonjour à la mascotte du pays : le panda du zoo de Ueno.
Au programme bien sur, une multitude d’espèces (environ 500) de l’ours aux lions en passant par l’éléphant, mais c’est vraiment ce gros ourson noir et blanc qui nous aura le plus touchés.
Merci à Julie, Alex ,Fred et tout le monde c’était une soirée TERRIBEULE !!!! 😀
Pour se finir hier soir, direction le mini quartier “Golden Gaï”.
Une sorte de mini St Mich, avec de tout petits bar-restaurants un peu partout. Pour la grande majorité, on pencherait pour des endroits pas forcement “super clean” surtout que le guide de la ville que nous avons acheté nous les déconseille en tant que Gaijin (étranger)…
Mais en fait pas du tout !!!
Nous avons trouvé refuge dans le Brian Bar, ou à 4 nous prenions toute la largeur du comptoir. L’un des deux serveurs ne se remettra jamais d’avoir rencontré le bassiste de Skarface ! 😀
Au programme de la beuverie : bières, saké, jet 27 et un alcool australien (je crois) tournant autour des 80°. Sans oublier la bonne souplette offerte aux frenchies par la maison.
Retrouvailles avec Alex et Julie à l’hôtel à 18h30 pour faire notre première sortie.
Première remarque, il fait super froid !
Deuxième remarque, il fait nuit et pourtant avec tous les panneaux lumineux, on pourrait penser qu’il fait jour.
Nous sommes tombés sur une mini rue, et c’est le cas de le dire (nous mettrons la photo demain), Yakitori Street. Et evidemment, comme son nom l’indique, nous avons mangé des brochettes dans un des nombreux mini restaurants.
Le japonais au premier plan, c’est Tom. Nous l’avons recontré au diner et il nous a trainé toute la soirée
Et il nous a appris qu’il ne fallait surtout pas dire tchin-tchin en trinquant, mais Kampaï. Apparemment tchin-tchin c’est plutot salace comme expression ici 😉
Il nous a donc amenés dans le quartier de Kabuchi où il n’y a que des endroits pour manger et… des salles de jeu bien sur !
C’est surement pas en France qu’un mec vous ferait visiter comme ça par simple sympathie sa ville. Et en nous faisant des petits cadeaux en plus ! 😉
Pour la peine, on est retournés boire un coup pour finir la soirée et on a fini par remanger 😉
Au programme, du bacon de baleine, des beignets frits de baleine, des poulpes au wasabi et beaucoup de saké différents ! Rien à voir, mais alors, rien à voir avec l’espèce de saké dégueu qu’on nous sert en France