Petite journée
Ça devient une habitude, nous sommes de nouveau réveillés à 6h30 et le ciel est encore bleu azur. Nous décidons donc de prévoir un petit pic-nic.
Après un petit déjeuner maison, direction IGA pour faire le plein. Petites salades, sandwichs et boissons en poche, nous prenons le chemin de “la montagne”. Il s’agit en réalité du Mont Royal et plus précisément de son parc.
Nous descendons donc à la station de métro Peel (ou face, pour faire plaisir à Gui) et là commence une loooooongue et dure ascension sous le soleil… On commence à se demander si c’était une bonne idée. 😉 Nous avons décidé de pic-niquer sur le bord du lac des castors, où il n’y a d’ailleurs pas de castors, allez comprendre. C’est donc après une heure et demi de montée que nous arrivons enfin et il commence à faire très faim.
C’est bien évidemment ce moment là que le soleil choisit pour disparaître. Alors autant au soleil la température est parfaite, autant à l’ombre et avec le vent qui se lève, ça devient limite insupportable. On ne lambinera donc pas trop dans l’herbe et nous continuons à nous diriger vers le sommet, à travers bois cette fois-ci, afin de trouver un bon point de vue sur la ville.
C’est chose faite en arrivant au chalet. Effectivement, on est bien montés, mais au final, la vue n’a rien d’exceptionnel. C’était juste cadeau pour nos mollets. 😉
Le décalage horaire, la montée, il est à peine 16 heures et nous voilà déjà épuisés. Nous prenons donc le chemin de la descente pour arriver dans une rue hyper-commerçante et très fréquentée. Différentes visites dans les magasins histoire de se faire une idée sur ce qu’on peut se trouver ici. A priori, Montréal n’est pas spécialement une bonne affaire pour les fringues, malgré le taux de change avantageux.
Petite pause au studio histoire de reprendre des forces et de passer en mode jean, puis nous nous mettons en quête d’un bar qui diffuserait le pay-per-view de la WWE (catch fans oblige), mais ça sera chou blanc.
Décision est quand même prise de se faire un bon burger et c’est sur le Hard Rock Café de la rue Crescent, rue où il n’y a que des pubs et restaurants, que nous jetons notre dévolu.
Épuisés alors qu’il n’est que 22 heures, nous rentrons à pieds jusqu’à l’hôtel. Le décalage horaire, ça fait se sentir vieux ! 😀