Pourquoi y retourner ?

Pour tous ceux qui nous cotoient un petit peu, vous devez savoir à quel point nous sommes revenus ravis de notre premier voyage à Tokyo (voir notre précédent blog). On vous a d’ailleurs très certainement bien gonflés avec ça. 😉 Nous avons tant de bonnes raisons d’y retourner qu’on ne sait même pas par quoi commencer. Tokyo nous a bluffés tout simplement.

Nous avons adoré la nourriture japonaise, d’ailleurs à notre grande surprise, et il nous reste des choses à goûter encore : Il va bien falloir enfin essayer le fugu, les okonomiyaki d’Osaka, la kyôryôri et le yudofu de Kyoto et retourner à notre cher sushi bar à Tokyo !

C’est surtout le pays des contrastes. Une vie sémillante, un coin de rue, et c’est la quiétude d’un temple qui nous attend. C’est toute la singularité du Japon : Un pays qui vit à mille à l’heure, où tout est tout le temps ouvert, éclairé, dément et démesuré mais où l’on peut facilement trouver la sérénité dans le respect des traditions.

Et que dire des japonais eux-mêmes… Un peuple accueillant, poli, ouvert et extrêmement attachant.

Toutes ces raisons justifient donc qu’on retourne au Japon, et qu’on en fasse un petit tour. Certes on ne verra pas tout, mais nous avons déjà un très beau programme : Tokyo, Kyoto, Nara, Osaka, Hiroshima, Miyajima, Nikko, Yokohama, Kamakura et encore et toujours Tokyo !

De plus, depuis maintenant le mois de janvier, nous étudions le japonais avec Tomoko-san. Et oui, nous avons même décidé de nous mettre à la langue japonaise. Bon, on est très loin de tout comprendre, mais ces leçons vont au moins nous permettre d’être un peu plus à l’aise dans le pays et de pouvoir y lire certaines choses. Nous allons enfin pouvoir savoir ce que nous commandons au restaurant ! 😉
Il faut dire que nous n’avons pas choisi de nous lancer dans la plus facile des langues et on ne remerciera jamais assez Tomoko-san de nous aider et de nous donner encore plus envie de rendre une nouvelle visite aux japonais.

Tant que nous sommes dans les remerciements, on en profitera aussi pour remercier Pascal, qui, avec son coup de pouce, nous a définitivement (clap !) motivés à entreprendre ce beau voyage.

Encore un peu de patience et on y sera !